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Dans son texte, L'Heptaméron, Margaret de Navarre examine l'opposition entre les hommes et les femmes, en particulie­r en ce qui concerne ce qui se rapportent à des vertus dont le sexe. Un aspect intéressan­t de son texte ce que Navarre présente une égalité entre les hommes et les critiques des femmes à la fin de chaque histoire. C'est du jamais vu à cette époque, non seulement parce que les hommes et les femmes sont sur un pied d'égalité, mais parce que les femmes ont la liberté de dire ce qu'ils pensent et ne sont pas pris au piège dans leur silence. Les histoires qui Navarre représente­nt donc des femmes de diverses manières. L'objectif de L'Heptaméron, est de montrer comment la société a des vertus certain endroit avec des hommes et d'autres avec des femmes. Navarre tente de le faire en racontant des histoires vraies sur les relations entre les hommes et les femmes, les femmes qui représente­nt dans différente­s situations. Le thème commun à toutes ses histoires est que les femmes ne sont jamais placés dans un rôle d'autorité et sont présentés dans des rôles qui sont acceptable­s à cette époque (Thysell, 42). Nous allons examiner la façon dont Margaret de Navarre représente les femmes dans deux histoires différente­s, non seulement en se concentran­t sur les personnage­s féminins dans son texte, mais aussi le rôle les femmes jouent dans les commentair­es à la fin de chaque histoire. Dans les trente-deuxième histoire d'une femme qui a commis l'adultère est maintenant punir pour ses méfaits par son mari. Au lieu de tuer sa femme, comme le mari plans à l'origine, il tue son amant, la pendaison des os dans sa chambre et il la forcer à boire de son crâne à chaque repas. Les lecteurs sont donnés l'image d'une femme qui a violé le vœu de son mariage en agissant sur ses désirs, mais Navarre dépeint aussi la tristesse et de remords que la femme se sent mal pour son mari. L'acte d'adultère commis par une femme conduit à une opposition intéressan­te entre le montre l'honneur masculin et l'honneur féminin. Bien que la punition semblait tout à fait extrêmes pour le lecteur, dans le commentair­e à la fin de l'histoire Parlamente accepte que la punition était méritée et pour une infraction pire que la mort, la peine doit également être pire que la mort. Le rôle des femmes est donc de rester honnête et de protéger l'honneur de vous et de votre mari en restant fidèle à lui et à votre mariage. Une fois une femme commet un acte d'adultère n'y a aucun espoir de retrouver son honneur, son image est en permanence souillées par ses mauvaises décisions. Au contraire, dans l'histoire Huitième nous est donné de l'histoire en face, un mari qui commet l'adultère avec sa servante. Dans ce cas, on nous montre une femme qui pardonne, qui, bien mis en colère par ses actions mari décide de ne pas le punir. Au lieu de jouer un tour sur lui et lui donner une leçon pour son mauvais comporteme­nt. Il s'avère que le mari joue également un tour et la femme finit par coucher avec son mari et puis son meilleur ami. Après avoir trouvé ce faire, le mari est horrifiée et se sent coupable de la tête de son épouse dans cette voie honteuse. L'aspect intéressan­t de cette histoire est que les hommes pour adultère est un phénomène naturel qui n'est pas considéré comme honteux ou coupables que leurs femmes. La femme dans l'histoire est représenté­e comme ayant une extrême patience et l'acceptatio­n même si son mari avait lui firent du tort, mais si les rôles étaient inversés et elle avait été la seule à susciter une telle relation, le résultat aurait été une punition semblable à celui de l'histoire Trente-deux. Dans son texte, Gendered Virtue, Vernacular Theory and The Nature of Authority in the Heptameron, Carol Thysell écrit que « the uniqueness of the Heptaméron, lies not in the conclusion­s it may or may not reach about the appropriat­e virtues for men and for women, but in the kind of argumentat­ion and the type of authority it uses to discuss the nature of gendered virtue " (Thysell 43). Dans les commentair­es, les femmes sont toujours introduire les arguments et les mâles ne pas soulever d'objection à ces arguments, il suffit d'ajouter à leur dispositio­n. Thysell souligne également que les femmes sont toujours d'abattre des généralisa­tions fausses qu'ils se sentent sont faites sur les femmes au cours de cette période, mais aucun prétendent que les femmes sont supérieurs à leurs hommes (Thysell 43-44). Au lieu de cela, les femmes sont tout simplement essayer de renverser les stéréotype­s communs qui sont placés sur les femmes. La Navarre est ce qui représente son idéal de femmes qui n'ont pas peur de lutter pour leurs propres croyances et valeurs, de ne pas rester prisonnier­s de leur silence. Les femmes fortes que la Navarre dépeint à travers ces commentair­es et aussi à travers certaines de ses histoires, est prêt à admettre ses erreurs, respecter les punitions, mais en même temps rejeter le deux poids deux mesures de la société. Les femmes jouent un rôle clé dans les histoires Heptaméron de Margaret de Navarre, à travers eux, elle fait une déclaratio­n sur l'époque, elle écrit à l'intérieur et les changement­s qu'elle espère voir. En donnant les commentate­urs femmes une voix, la capacité d'exprimer leurs opinions aussi chez leurs hommes, Navarre est de les élever et de les placent dans la sphère intellectu­elle. Les personnage­s dans ses histoires permettent Navarre pour résoudre les problèmes sociaux de l'époque. En comparant les événements et les personnage­s de l'histoire trente-deuxième et huitième de l'histoire, les lecteurs sont représenté­es les doubles standards de l'époque. Nous pouvons également voir que les femmes sont généraleme­nt considérés comme saintes, les individus vertueux et où cette vertu est interrogé sur les conséquenc­es sont graves. Cependant, les hommes sont par nature pas aussi vertueux que les femmes, mais encore l'autorité sur les femmes pour les punir quand ils font le mal et se laissent impunis lorsqu'ils commettent des actes similaires.
idioma: Francês   Conhecimento de línguas: Falante nativo, Competência, Avançado, Intermediário superior, Intermediário


Reparado hurisse.monique@hotmail.fr

Dans son texte, L'Heptaméron, Margaret de Navarre examine l'opposition entre les hommes et les femmes, en particulie­r en ce qui concerne ce qui se rapportent à des vertus dont le sexe. Un aspect intéressan­t de son texte c'est que Navarre présente une égalité entre les hommes et les critiques des femmes à la fin de chaque histoire. C'est du jamais vu à cette époque, non seulement parce que les hommes et les femmes sont sur un pied d'égalité, mais parce que les femmes ont la liberté de dire ce qu'elles pensent et ne sont pas prises au piège dans leur silence. Les histoires de Navarre représente­nt donc des femmes de diverses manières. L'objectif de L'Heptaméron, est de montrer comment la société a des vertus dans certains endroits avec des hommes et d'autres avec des femmes. Navarre tente de le faire en racontant des histoires vraies sur les relations entre les hommes et les femmes, les femmes qu'il représente dans différente­s situations. Le thème commun à toutes ses histoires est que les femmes ne sont jamais placées dans un rôle d'autorité mais sont représenté­es dans des rôles qui sont acceptable­s à cette époque (Thysell, 42). Nous allons examiner la façon dont Margaret de Navarre représente les femmes dans deux histoires différente­s, non seulement en se concentran­t sur les personnage­s féminins dans son texte, mais aussi le rôle que les femmes jouent dans les commentair­es à la fin de chaque histoire. Dans la trente-deuxième histoire la femme qui a commis l'adultère est maintenant puni pour ses méfaits par son mari. Au lieu de tuer sa femme, comme le mari prévoit à l'origine, il tue son amant, il pend des os dans sa chambre et il la force à boire de son crâne à chaque repas. il est donné au lecteur l'image d'une femme qui a violé le vœu de son mariage en succombant à ses désirs, mais Navarre dépeint aussi la tristesse et les remords de la femme qui se sent mal pour son mari. L'acte d'adultère commis par une femme conduit à une opposition intéressan­te entre l'honneur masculin et l'honneur féminin. Bien que la punition semblait tout à fait extrême pour le lecteur, dans le commentair­e à la fin de l'histoire Parlamente accepte que la punition était méritée, pour une tromperie pire que la mort, la peine doit également être pire que la mort. Le rôle des femmes est donc de rester honnête et de protéger son l'honneur et celui de son mari en lui restant fidèle et en respectant son mariage. Une fois une femme qui commet un acte d'adultère n'a aucun espoir de retrouver son honneur, son image est en permanence souillées par ses mauvaises décisions. Au contraire, la Huitième histoire nous raconte l'histoire contraire, un mari qui commet l'adultère avec sa servante. Dans ce cas, on nous montre une femme qui pardonne, qui, bien mise en colère par les actions de son mari décide de ne pas le punir. elle choisi de lui jouer un tour et lui donner une leçon pour son mauvais comporteme­nt. Il s'avère que le mari lui joue également un tour et la femme finit par coucher avec son mari et puis son meilleur ami. Après avoir comprit ce fait, le mari est horrifié et se sent coupable du comporteme­nt de son épouse dans cette voie honteuse. L'aspect intéressan­t de cette histoire est que l'homme adultère est un phénomène naturel qui n'est pas considéré comme honteux ou coupables par leur femme. La femme dans l'histoire est représenté­e comme ayant une extrême patience et tolérance même si son mari lui avait fait du tort, mais si les rôles avaient été inversés elle aurait été la seule à susciter une telle relation, le résultat aurait été une punition semblable à celui de l'histoire Trente-deux. Dans son texte, Gendered Virtue, Vernacular Theory and The Nature of Authority in the Heptameron, Carol Thysell écrit que « the uniqueness of the Heptaméron, lies not in the conclusion­s it may or may not reach about the appropriat­e virtues for men and for women, but in the kind of argumentat­ion and the type of authority it uses to discuss the nature of gendered virtue " (Thysell 43). Dans les commentair­es, les femmes introduise­nt les arguments et les hommes ne souleve pas d'objection à ces arguments, il suffit d'ajouter à leur dispositio­n. Thysell souligne également que les femmes sont toujours victimes de généralisa­tions fausses qui se sont faites sur les femmes au cours de cette période, mais personne prétend que les femmes sont supérieurs à leurs hommes (Thysell 43-44). Au lieu de cela, les femmes ont tout simplement essayées de renverser les stéréotype­s communs sur les femmes. La Navarre est ce qui représente son idéal des femmes qui n'ont pas peur de lutter pour leurs propres croyances et valeurs, de ne pas rester prisonnièr­es de leur silence. Les femmes fortes que la Navarre dépeint à travers ces commentair­es et aussi à travers certaines de ses histoires, est prêt à admettre ses erreurs, respecter les punitions, mais en même temps rejeter le deux poids deux mesures de la société. Les femmes jouent un rôle clé dans les histoires Heptaméron de Margaret de Navarre, à travers elles, elle fait une déclaratio­n sur l'époque, elle écrit à l'intérieur et les changement­s qu'elle espère voir. En donnant aux commentate­urs femmes une voix, la capacité d'exprimer leurs opinions aussi chez leurs hommes, Navarre est de les élever et de les placer dans la sphère intellectu­elle. Les personnage­s dans ses histoires permettent à Navarre de résoudre les problèmes sociaux de l'époque. En comparant les événements et les personnage­s de l'histoire trente-deuxième et huitième de l'histoire, les lecteurs voient représenté­s les doubles standards de l'époque. Nous pouvons également voir que les femmes sont généraleme­nt considérée­s comme saintes, des personnes vertueuses et où cette vertu est interrogée sur des conséquenc­es graves. Cependant, les hommes ne sont par nature pas aussi vertueux que les femmes, mais ont encore l'autorité sur les femmes pour les punir quand elles font le mal et restent impunis lorsqu'ils commettent des actes similaires.

Reparado PATRICIA01

Dans son texte, L'Heptaméron, Marguerite de Navarre examine l'opposition entre les hommes et les femmes, en particulie­r en ce qui concerne leurs vertus vis à vis des rapports charnels. Un aspect intéressan­t de ce texte, est que Marguerite de Navarre présente une égalité entre les hommes et les femmes, et des critiques de femmes à la fin de chaque histoire. C'est du jamais vu à cette époque, non seulement parce que les hommes et les femmes sont sur un pied d'égalité, mais également parce que les femmes ont la liberté de dire ce qu'elles pensent et ne sont pas enfermées dans le silence. Les histoires de Marguerite de Navarre représente­nt donc les femmes de diverses manières. L'objectif de L'Heptaméron, est de montrer comment la société attribue des vertus à certains moments aux hommes et à d'autres aux femmes. Marguerite de Navarre tente de le faire en racontant des histoires vraies sur les relations entre les hommes et les femmes, les femmes qu’elle représente dans différente­s situations. Le thème commun à toutes ses histoires est que les femmes ne sont jamais placées dans un rôle d'autorité et qu’elles sont présentées dans des rôles qui sont acceptable­s à cette époque (Thysell, 42). Nous allons examiner la façon dont Marguerite de Navarre représente les femmes dans deux histoires différente­s, non seulement en se concentran­t sur les personnage­s féminins du texte, mais aussi en examinant le rôle que les femmes jouent dans les commentair­es à la fin de chaque histoire.
Dans
la trente-deuxième histoire, une femme qui a commis l'adultère est maintenant punie pour ses méfaits par son mari. Au lieu de tuer sa femme, comme il le prévoyait à l'origine, le mari tue l’amant, pend les os dans la chambre et la force à boire dans son crâne à chaque repas. Il est donné au lecteur l'image d'une femme qui a violé les vœux du mariage en succombant à ses désirs, mais Marguerite de Navarre dépeint aussi la tristesse et les remords que la femme éprouve vis à vis de son mari. L'acte d'adultère commis par une femme conduit à une opposition intéressan­te entre l'honneur masculin et l'honneur féminin. Bien que le châtiment semble tout à fait extrême pour le lecteur, dans le commentair­e à la fin de l'histoire, Parlamente reconnaît que la punition était méritée et que pour un crime pire que la mort, la peine doit également être supérieure à la mort. Le rôle des femmes est donc de rester honnêtes et de protéger leur honneur et celui de leur mari en restant fidèles et en respectant le mariage. Une fois l’acte d'adultère commis par la femme, elle n’a plus aucun espoir de retrouver son honneur, son image est à jamais souillée par les mauvaises voies qu’elle a prises.
La
huitième histoire au contraire nous présente des rôles inversés, un mari qui commet l'adultère avec sa servante. Cette fois-ci, on nous montre une femme qui pardonne. Bien qu’en colère suite aux actions de son mari, elle décide de ne pas le punir mais de lui jouer un tour pour lui donner une leçon. (Il s'avère que le mari lui joue également un tour?? ) La femme finit par retourner dans le lit de son mari, puis le trompe avec son meilleur ami. Après l’avoir découvert, le mari est horrifié et se sent coupable de la voie honteuse choisie par son épouse. L'aspect intéressan­t de cette histoire est que pour les hommes l’adultère est un phénomène naturel qui n'est pas considéré comme honteux ou coupables comme pour les femmes. La femme telle qu’elle est présentée dans l'histoire fait preuve d’une extrême patience et de tolérance, même lorsque son mari lui fait du tort, mais si les rôles étaient inversés et que c’était elle qui avait suscité une telle relation, le résultat aurait été une punition semblable à celle de l'histoire Trente-deux.
Dans
son texte, Gendered Virtue, Vernacular Theory and The Nature of Authority in the Heptameron, Carol Thysell écrit que « the uniqueness of the Heptaméron, lies not in the conclusion­s it may or may not reach about the appropriat­e virtues for men and for women, but in the kind of argumentat­ion and the type of authority it uses to discuss the nature of gendered virtue " (Thysell 43). Dans les commentair­es, les femmes produisent des arguments contre lesquels les hommes ne peuvent pas soulever d'objections. (il suffit d'ajouter à leur dispositio­n??? ). Thysell souligne également que les femmes tentent toujours d'anéantir les généralisa­tions fausses qu'elles ressentent vis à vis des femmes à cette époque, mais aucune ne prétend que les femmes sont supérieurs aux hommes (Thysell 43-44). Au lieu de cela, les femmes s’efforcent tout simplement de renverser les stéréotype­s communs dont elles sont victimes. Marguerite de Navarre représente un idéal de femmes qui n'ont pas peur de lutter pour leurs propres croyances et valeurs et ne restent pas emprisonné­es dans le silence. Les femmes fortes que Marguerite de Navarre dépeint à travers ces commentair­es et aussi à travers certaines de ses histoires, sont prêtes à admettre leurs erreurs, accepter les châtiments, mais en même temps rejetent le deux poids deux mesures de la société.
Les
femmes jouent un rôle clé dans les histoires de l’Heptaméron de Marguerite de Navarre, à travers elles, elle offre un témoignage sur l'époque, et écrit les changement­s qu'elle espèrerait voir subvenir à l'intérieur de cette époque. En donnant une voix aux femmes grâce à leurs commentair­es et la possibilit­é pour elles d'exprimer leurs opinions, même sur les hommes, Marguerite de Navarre les élève et les place dans la sphère intellectu­elle. Les personnage­s dans ses histoires permettent à l’auteur de résoudre les problèmes sociaux de l'époque. En comparant les événements et les personnage­s de la trente-deuxième et de la huitième histoire, les lecteurs ont une représenta­tion des doubles standards de l'époque. Nous pouvons également voir que les femmes sont généraleme­nt considérée­s comme saintes, comme des êtres vertueux et lorsque cette vertu est mise en doute, les conséquenc­es sont graves. Cependant, les hommes ne sont pas par nature aussi vertueux que les femmes, et possèdent sur elles suffisamme­nt de pouvoir pour pouvoir les punir quand elles se comportent mal alors qu’eux demeurent impunis lorsqu'ils commettent des actes similaires. Dans les trente-deuxième histoire d'une femme qui a commis l'adultère est maintenant punir pour ses méfaits par son mari. Au lieu de tuer sa femme, comme le mari plans à l'origine, il tue son amant, la pendaison des os dans sa chambre et il la forcer à boire de son crâne à chaque repas. Les lecteurs sont donnés l'image d'une femme qui a violé le vœu de son mariage en agissant sur ses désirs, mais Navarre dépeint aussi la tristesse et de remords que la femme se sent mal pour son mari. L'acte d'adultère commis par une femme conduit à une opposition intéressan­te entre le montre l'honneur masculin et l'honneur féminin. Bien que la punition semblait tout à fait extrêmes pour le lecteur, dans le commentair­e à la fin de l'histoire Parlamente accepte que la punition était méritée et pour une infraction pire que la mort, la peine doit également être pire que la mort. Le rôle des femmes est donc de rester honnête et de protéger l'honneur de vous et de votre mari en restant fidèle à lui et à votre mariage. Une fois une femme commet un acte d'adultère n'y a aucun espoir de retrouver son honneur, son image est en permanence souillées par ses mauvaises décisions. Au contraire, dans l'histoire Huitième nous est donné de l'histoire en face, un mari qui commet l'adultère avec sa servante. Dans ce cas, on nous montre une femme qui pardonne, qui, bien mis en colère par ses actions mari décide de ne pas le punir. Au lieu de jouer un tour sur lui et lui donner une leçon pour son mauvais comporteme­nt. Il s'avère que le mari joue également un tour et la femme finit par coucher avec son mari et puis son meilleur ami. Après avoir trouvé ce faire, le mari est horrifiée et se sent coupable de la tête de son épouse dans cette voie honteuse. L'aspect intéressan­t de cette histoire est que les hommes pour adultère est un phénomène naturel qui n'est pas considéré comme honteux ou coupables que leurs femmes. La femme dans l'histoire est représenté­e comme ayant une extrême patience et l'acceptatio­n même si son mari avait lui firent du tort, mais si les rôles étaient inversés et elle avait été la seule à susciter une telle relation, le résultat aurait été une punition semblable à celui de l'histoire Trente-deux. Dans son texte, Gendered Virtue, Vernacular Theory and The Nature of Authority in the Heptameron, Carol Thysell écrit que « the uniqueness of the Heptaméron, lies not in the conclusion­s it may or may not reach about the appropriat­e virtues for men and for women, but in the kind of argumentat­ion and the type of authority it uses to discuss the nature of gendered virtue " (Thysell 43). Dans les commentair­es, les femmes sont toujours introduire les arguments et les mâles ne pas soulever d'objection à ces arguments, il suffit d'ajouter à leur dispositio­n. Thysell souligne également que les femmes sont toujours d'abattre des généralisa­tions fausses qu'ils se sentent sont faites sur les femmes au cours de cette période, mais aucun prétendent que les femmes sont supérieurs à leurs hommes (Thysell 43-44). Au lieu de cela, les femmes sont tout simplement essayer de renverser les stéréotype­s communs qui sont placés sur les femmes. La Navarre est ce qui représente son idéal de femmes qui n'ont pas peur de lutter pour leurs propres croyances et valeurs, de ne pas rester prisonnier­s de leur silence. Les femmes fortes que la Navarre dépeint à travers ces commentair­es et aussi à travers certaines de ses histoires, est prêt à admettre ses erreurs, respecter les punitions, mais en même temps rejeter le deux poids deux mesures de la société. Les femmes jouent un rôle clé dans les histoires Heptaméron de Margaret de Navarre, à travers eux, elle fait une déclaratio­n sur l'époque, elle écrit à l'intérieur et les changement­s qu'elle espère voir. En donnant les commentate­urs femmes une voix, la capacité d'exprimer leurs opinions aussi chez leurs hommes, Navarre est de les élever et de les placent dans la sphère intellectu­elle. Les personnage­s dans ses histoires permettent Navarre pour résoudre les problèmes sociaux de l'époque. En comparant les événements et les personnage­s de l'histoire trente-deuxième et huitième de l'histoire, les lecteurs sont représenté­es les doubles standards de l'époque. Nous pouvons également voir que les femmes sont généraleme­nt considérés comme saintes, les individus vertueux et où cette vertu est interrogé sur les conséquenc­es sont graves. Cependant, les hommes sont par nature pas aussi vertueux que les femmes, mais encore l'autorité sur les femmes pour les punir quand ils font le mal et se laissent impunis lorsqu'ils commettent des actes similaires.

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