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Dans les contes de fées français, le "père" figure joue un rôle intéressan­t; souvent retirés de l'histoire dans les premières lignes, nous examineron­s trois contes de fées où le père joue un rôle important. Peau d'Ane, La Belle et La Bête, et L'Oiseau Bleu de trois contes de fées qui font le père fait partie intégrante de l'histoire. Pour ces trois histoires de mettre l'accent sur les luttes provoquées par un personnage masculin est étrange, en raison de la contes de fées du monde entier qui se concentren­t sur une héroïne, une jeune femme souffrant d'un problème provoqué par un caractère des femmes âgées (Absent Mothers: Cinderella, Warner, 39). Cependant, le rôle du père n'est pas le même, nous voyons un père avec de mauvaises intentions, un père qui aime sa fille, mais ne peut pas renoncer à sa propre vie pour mieux la sienne, et enfin, un père de soumission permet à sa fille d'être maltraités par d'autres. Mistele dit que dans de nombreux contes de fées français «The father's house emerges as the site of struggle between the father and the daughter »" (In My Father's House are Many Rooms, Mistele, 89). Ces luttes sont le résultat direct des actions ou le manque de mesures prises par le père prend à une partie positive de la vie de sa fille.
Peau D'Âne Le conte de fée de Perrault, Peau d'Âne, est une exception à la plupart de ses œuvres en raison du fait que la figure du père joue un rôle prédominan­t dans l'intrigue. Pour Perrault, l'accent de ses œuvres sont rarement sur un personnage masculin, donc dans les contes comme Cendrillon, le père est mentionné dans les premières lignes, puis plus jamais été mentionnée. Peau d'Âne, est étrange parce que le père joue l'antagonist­e et il est la seule raison de troubles de sa fille et de la souffrance (In My Father's House are Many Rooms, Mistele, 94). Le père de Peau d'Âne essaie de satisfaire le voeu exprimé sa femme mourante de ne se marier avec quelqu'un de plus beau que lui-même, puis, il cherche tout le royaume et réalise la seule option est sa fille. Comme il essai à convaincre sa fille de l'épouser, le lecteur est confronté à la question de l'inceste. Perrault décrit le père comme un arriviste, égoïste, qui se rendront à tous les moyens pour obtenir ce qu'il veut, même si elle est quelque chose qu'il n'aurait pas voulu, comme sa fille. Tout au long de l'histoire le père exerce une pression sur la fille de consentir au mariage qu'il désire. Elle demande ce qu'elle croit être des cadeaux impossible, mais de toute façon son père réussit à les obtenir. La fille n'est manifestem­ent pas le réchauffem­ent à l'idée d'épouser son père, à chaque nouvelle idée de cadeau, elle tente une demande plus obscur, jusqu'à ce qu'elle soit finalement obligé de fuir. Perrault montre que le père ne pense pas à ce que sa fille veut dans sa vie, il ne peut se concentrer sur le vœu qu'il a fait à sa femme et comment il peut réussir à l'accomplir. Son père est tellement pris dans les promesses qu'il a faites, il ne voit pas comment il est au volant de sa fille au loin, et pourtant aussi ne voit pas comment ses actes sont honteux et immoral. Perrault décrit le père d'une manière négative, ce qui lui semble grossier et le mal de son intérêt impropre à sa propre fille.
La Belle et La Bête Contrairem­ent à Peau D'Âne, La Belle et La Bête présente aux lecteurs une figure paternelle qui a des bonnes intentions pour sa fille, mais joue toujours avec son bien-être pour son propre bénéfice. Après avoir été perdu dans une forêt, le commerçant est prise en preuve d'hospitalit­é et de la bête et après il coupe une rose de la bête lui offre un ultimatum. Soit le commerçant doit rester son prisonnier ou il doit envoyer une de ses filles pour prendre sa place. Le père accepte immédiatem­ent, retourne chez lui et renvoie sa plus jeune fille Belle. Semblable au Père dans Peau d'Âne, le père dans cette histoire se met, égoïstemen­t, avant sa propre fille. Il ne pense qu'à son bien-être et, tandis qu'il se sent toujours en colère sur l'envoi de sa fille pour vivre avec une bête, il décide c'est nécessaire. De même pour Peau d'Âne, dans cette histoire les lecteurs sont mis en place à une figure paternelle, qui est présentée dans une façon négatif et est présenté comme pas vraiment se soucier de sa fille. Le père ouvertemen­t mis la vie de sa fille en danger, afin de se sauver d'avoir à vivre une vie misérable avec la bête. Bien que cette décision était égoïste et irresponsa­ble, le père a donné sa fille une chance extraordin­aire de changer sa vie. Belle tombe en amour avec la bête et il se trouve que c'est un beau prince, alors à la fin Belle récolte les avantages de faire de son père mauvaise décision. Toutefois, contrairem­ent au père incestueus­e de Peau d'Âne, le père de Belle est représenté comme ayant une relation positive avec sa fille. Malgré l'aide de Belle comme une évasion, son père l'aime et ils conservent une relation forte tout au long de l'histoire. Pour les lecteurs, il est clair que les actions du père étaient égoïstes et non pas dans l'intérêt de sa fille, mais l'amour du père a pour sa fille n'est jamais en question et la positivité de leur relation est montré leurs interactio­ns.
L'Oiseau Bleu Contrairem­ent aux deux premiers textes dans L'Oiseau Bleu, le père est un peu moins actif tout au long de l'histoire, mais il est encore un personnage important dans la vie de sa fille. L'Oiseau Bleu raconte l'histoire d'une jeune fille belle, Fiordelisa, qui attire l'intérêt d'un prince. Sa belle-mère devient jaloux convainc le père de fille que sa propre fille doit se marier d'abord et aussi le prince, par conséquent, ils verrouille­nt Fiordelisa dans une tour loin du prince. Ce conte raconte l'histoire d'un père qui abandonne sa propre fille et il est incapable de se lever pour elle dans le visage de sa belle-famille envieux. En raison de son manque d'action, le père est représenté comme un faible, personne soumise. En tout, le père, mais pas une présence importante dans l'histoire, est une représenta­tion négative. Sa capacité à ignorer complèteme­nt le bien-être de sa fille, à permettre à sa femme de contrôler sa vie n'invoque pas sur le lecteur l'idée de l'amour paternel. C'est intéressan­t parce que quand le lecteur est d'abord introduit à Fiordelisa et son père, on leur dit que le père aime sa fille bien. Il fait tout ce qu'un père aimant normal ferait, notamment en essayant d'avoir épousé sa fille à un homme convenable. Toutefois, lorsque la jalousie surmonte sa femme, il est forcé à la décision d'accepter la volonté de sa femme ou en défendant les libertés de sa fille. En permettant à sa femme d'enfermer Fiordelisa dans la tour, même s'il savait comment elle était malheureus­e, le lecteur peut voir que le père n'est pas aussi attentionn­é et sympathiqu­e envers sa fille. Au lieu de cela il préfère éviter les conflits avec sa femme et apaiser ses exigences, même si cela signifie faire malheureus­e et solitaire. Le père dans L'Oiseau Bleu est un exemple de ce qui se passe lorsque les parents assis les bras croisés et regarder leurs enfants souffrent. Le lecteur peut voir le changement d'un caractère positif à un négatif, en raison du manque du père de l'action et l'incapacité de protéger sa fille. Peau d'Ane, La Belle et La Bête, et L'Oiseau Bleu de trois contes de fées où la figure du père joue un rôle prépondéra­nt dans la vie de la protagonis­te. Dans chacun de ces trois histoires, le lecteur est présenté avec une forme de lutte entre le père et la fille, certains plus graves que d'autres. Comme Farrar dit, «Father figures tend to be excused responsibi­lity», laissant le lecteur avec des questions comme pourquoi aurait-il se remarier de nouveau ou pourquoi aurait-il pas intervenir pour protéger sa fille (Absent Mothers, Warner 42). Le thème commun dans les trois contes, c'est qu'il y a un problème qui se pose causant les deux personnage­s d'être poussé dehors. Cependant, ces problèmes ne sont pas toujours le signe d'une relation négative, par exemple, Belle et son père, malgré des difficulté­s, parviennen­t encore à avoir une relation très positive. Dans tous les cas, les trois pères ne sont pas représenté­s comme agissant dans le meilleur intérêt de leurs filles, ou de manière à les protéger contre les dangers extérieurs.
idioma: Francês   Conhecimento de línguas: Falante nativo, Competência, Avançado, Intermediário superior, Intermediário


Reparado hurisse.monique@hotmail.fr

Dans les contes de fées français, le "père" joue un rôle intéressan­t; souvent retiré de l'histoire dans les premières lignes. Nous examineron­s trois contes de fées où le père joue un rôle important. Peau d'Âne, La Belle et La Bête, et L'oiseau Bleu, dans ces trois contes de fées le père fait partie intégrante de l'histoire. Ces trois histoires mettre l'accent sur les luttes provoquées par un personnage masculin et étrange, les contes de fées du monde entier se concentren­t sur une héroïne, une jeune femme souffrant d'un problème provoqué par le caractère de femmes âgées (Absent Mothers: Cinderella, Warner, 39). Cependant, le rôle du père n'est pas le même, nous voyons un père avec de mauvaises intentions, un père qui aime sa fille, mais ne peut pas renoncer à sa propre vie pour s'occuper de sa fille, et enfin, un père soumis qui laisse sa fille être maltraité par d'autres. Mistele dit que dans de nombreux contes de fées français «The father's house emerges as the site of struggle between the father and the daughter »" (In My Father's House are Many Rooms, Mistele, 89). Ces conflits sont le résultat direct des actions ou le manque de mesures prises par le père pour rendre la vie de sa fille plus agréable.
Peau D'Âne Le conte de fée de Perrault, Peau d'Âne, est une exception à la plupart de ses œuvres en raison du fait que la figure du père joue un rôle prédominan­t dans l'intrigue. Pour Perrault, l'accent de ses œuvres est rarement sur un personnage masculin, comme dans Cendrillon, le père est mentionné dans les premières lignes, puis plus jamais on ne parle de lui. Peau d'Âne, c'est différent parce que le père joue l'antagonist­e et il est la seule raison des troubles de sa fille et de sa souffrance (In My Father's House are Many Rooms, Mistele, 94). Le père de Peau d'Âne essaie de satisfaire le vœu exprimé sa femme mourante de ne se marier qu'avec quelqu'un de plus beau que lui-même, puis, il cherche dans tout le royaume et réalise que la seule option c'est sa fille. Comme il essai de convaincre sa fille de l'épouser, le lecteur est confronté à la question de l'inceste. Perrault décrit le père comme un arriviste, égoïste, qui utilisera tous les moyens pour obtenir ce qu'il veut, même s'il n'ai pas d'accord avec ce que veut sa fille. Tout au long de l'histoire le père exerce une pression sur sa fille pour la convaincre d'accepter le mariage qu'il désire. Elle demande ce qu'elle croit être des cadeaux impossible, mais de toute façon son père réussit à les obtenir. La fille n'est manifestem­ent pas consentant­e à l'idée d'épouser son père, à chaque nouvelle idée de cadeau, elle tente une demande plus difficile à réaliser, jusqu'à ce qu'elle soit finalement obligé de fuir. Perrault montre que le père ne pense pas à ce que sa fille veut dans sa vie, il ne peut se concentrer que sur le vœu qu'il a fait à sa femme et comment il peut réussir à l'accomplir. Son père est tellement pris dans les promesses qu'il a faites, qu'il ne voit pas comment il éloigne sa fille de lui, et pourtant il ne réalise pas jusqu'à quel point ses actes sont honteux et immoraaux. Perrault décrit le père d'une manière négative, ce qui lui semble grossier et le manque d'intérêt our sa propre fille.
La Belle et La Bête Contrairem­ent à Peau D'Âne, La Belle et La Bête présente aux lecteurs une figure paternelle qui a de bonnes intentions pour sa fille, mais joue toujours avec son bien-être pour son propre bénéfice. Après avoir été perdu dans une forêt, le commerçant est accueillit par la bête, puis elle coupe une rose et lui pose un ultimatum. Soit le commerçant doit rester son prisonnier soit il doit envoyer une de ses filles pour prendre sa place. Le père accepte immédiatem­ent, retourne chez lui et renvoie sa plus jeune fille Belle. Semblable au Père dans Peau d'Âne, le père dans cette histoire se met, égoïstemen­t, avant sa propre fille. Il ne pense qu'à son sort et, tandis qu'il est toujours en colère il envoi sa fille pour vivre avec la Bête, il pense que c'est mieux pour lui. De même pour Peau d'Âne, dans cette histoire les lecteurs sont mis face à une figure paternelle, qui est présentée de façon négative et pas vraiment dans le souci du bien être de sa fille. Le père a ouvertemen­t mis la vie de sa fille en danger, afin d'éviter d'avoir à vivre une vie misérable avec la Bête. Bien que cette décision était égoïste et irresponsa­ble, le père a donné à sa fille une chance extraordin­aire de changer sa vie. Belle tombe amoureuse de la Bête et il se trouve que c'est un beau prince, alors à la fin Belle récolte les avantages de la mauvaise décision prise par son père. Toutefois, contrairem­ent au père incestueus­e de Peau d'Âne, le père de Belle est représenté comme ayant une relation positive avec sa fille. Malgré l'aide de Belle pour lévasion, son père l'aime et ils conservent une relation forte tout au long de l'histoire. Pour les lecteurs, il est clair que les actions du père étaient égoïstes et non pas dans l'intérêt de sa fille, mais l'amour que le père a pour sa fille n'est jamais remis en question, la positivité de leur relation est montrée.
L'Oiseau Bleu Contrairem­ent aux deux premiers textes dans L'Oiseau Bleu, le père est un peu moins actif tout au long de l'histoire, mais il est encore un personnage important dans la vie de sa fille. L'Oiseau Bleu raconte l'histoire d'une jeune fille belle, Fiordelisa, qui attire l'intérêt d'un prince. Sa belle-mère devient jalouse et convint le père de la fille que sa propre fille doit se marier d'abord et avec le prince, par conséquent, ils enferment Fiordelisa dans une tour loin du prince. Ce conte raconte l'histoire d'un père qui abandonne sa propre fille et qui est incapable de se battre pour elle face à sa belle-famille envieuse. En raison de son manque d'action, le père est représenté comme un faible, une personne soumise. En tout, le père, mais pas une présence importante dans l'histoire, est une représenta­tion négative. Sa capacité à ignorer complèteme­nt le bien-être de sa fille, à permettre à sa femme de contrôler sa vie n'invoque pas sur le lecteur l'idée de l'amour paternel. C'est intéressan­t parce que quand le lecteur est d'abord introduit à Fiordelisa et son père, on leur dit que le père aime sa fille bien. Il fait tout ce qu'un père aimant normal ferait, notamment en essayant d'avoir épousé sa fille à un homme convenable. Toutefois, lorsque la jalousie surmonte sa femme, il est forcé à la décision d'accepter la volonté de sa femme ou en défendant les libertés de sa fille. En permettant à sa femme d'enfermer Fiordelisa dans la tour, même s'il savait comment elle était malheureus­e, le lecteur peut voir que le père n'est pas aussi attentionn­é et sympathiqu­e envers sa fille. Au lieu de cela il préfère éviter les conflits avec sa femme et apaiser ses exigences, même si cela signifie rendre sa fille malheureus­e et solitaire. Le père dans L'Oiseau Bleu est un exemple de ce qui se passe lorsque les parents assis les bras croisés à regarder leurs enfants souffrir. Le lecteur peut voir le changement d'un caractère positif en négatif, en raison du manque de caractère du père dans l'action et l'incapacité de protéger sa fille. Peau d'Ane, La Belle et La Bête, et L'Oiseau Bleu sont trois contes de fées où l'attitude du père joue un rôle prépondéra­nt dans la vie de la protagonis­te. Dans chacune de ces trois histoires, le récit est présenté sous forme de lutte entre le père et la fille, certains plus graves que d'autres. Comme Farrar dit, «Father figures tend to be excused responsibi­lity», laissant le lecteur avec des questions comme pourquoi aurait-il du se marier de nouveau ou pourquoi n'est il pas intervenu pour protéger sa fille (Absent Mothers, Warner 42). Le thème commun dans les trois contes, c'est qu'il y a un problème qui se pose incitant un personnage à exclure l'autre. Cependant, ces problèmes ne sont pas toujours le signe d'une relation négative, par exemple, Belle et son père, malgré des difficulté­s, parviennen­t encore à avoir une relation très positive. Dans tous les cas, les trois pères ne sont pas représenté­s comme agissant pour le meilleur intérêt de leurs filles, ou de manière à les protéger contre les dangers extérieurs.

Reparado PATRICIA01

Dans les contes de fées français, le personnage du père joue un rôle intéressan­t; souvent retiré de l'histoire dans les premières lignes, nous examineron­s trois contes de fées où le père joue un rôle important. Peau d'âne, La Belle et la Bête, et L'Oiseau bleu, trois contes de fées dont le père fait partie intégrante de l'histoire. Il est étrange que ces trois histoires mettent l'accent sur les luttes provoquées par un personnage masculin, car les contes de fées du monde entier se concentren­t en général sur une héroïne, une jeune femme souffrant d'un problème provoqué par le personnage d’une femme âgée (Absent Mothers: Cinderella, Warner, 39). Cependant, le rôle du père ici n'est pas le même, nous voyons un père avec de mauvaises intentions, un père qui aime sa fille, mais ne veut pas renoncer à sa propre vie pour améliorer la sienne, et enfin, un père soumis qui permet que sa fille soit maltraitée par d'autres. Mistele dit que dans de nombreux contes de fées français «The father's house emerges as the site of struggle between the father and the daughter »" (In My Father's House are Many Rooms, Mistele, 89). Ces luttes sont le résultat direct d’actions les mesures prises par le père nuisent à la vie de sa fille.
Peau D'Âne
Dans
Peau d’âne,
le conte de fées de Perrault, Peau d'âne, est une exception à la plupart de ses œuvres en raison du fait que la figure du père joue un rôle prédominan­t dans l'intrigue. Dans ses œuvres, Perrault met rarement l'accent sur un personnage masculin, ainsi dans des contes comme Cendrillon, le père est mentionné dans les premières lignes, puis n’est plus jamais mentionné. Peau d'Âne, est étrange parce que le père joue l'antagonist­e et il est la seule raison des troubles de sa fille et de sa souffrance (In My Father's House are Many Rooms, Mistele, 94). Le père de Peau d'Âne essaie de satisfaire le voeu exprimé par sa femme mourante: qu’il ne se remarie qu’avec une femme plus belle qu‘elle. Il cherche dans tout le royaume et réalise que la seule option est sa fille. Alors qu’il essaie de convaincre sa fille de l'épouser, le lecteur est confronté à la question de l'inceste. Perrault décrit le père comme un arriviste, égoïste, prêt à utiliser tous les moyens pour obtenir ce qu'il veut, même si c’est quelque chose qu'il n'aurait pas voulu, comme sa fille. Tout au long de l'histoire le père exerce une pression sur sa fille afin de la faire consentir au mariage qu'il désire. Elle demande ce qu'elle croit être des cadeaux impossible­s, mais chaque fois son père réussit à les obtenir. La fille n'est manifestem­ent pas enthousias­te à l'idée d'épouser son père, à chaque nouvelle idée de cadeau, elle tente une demande plus obscure, jusqu'à ce qu'elle soit finalement obligée de fuir. Perrault montre que le père ne pense pas à ce que sa fille souhaite pour sa vie, il ne fait que se concentrer sur le vœu qu'il a fait à sa femme et comment il peut réussir à l'accomplir. Le père est tellement pris dans les promesses qu'il a faites, qu’il ne voit pas comment il est (au volant? ) de sa fille au loin, et aussi il ne voit pas combien ses actes sont honteux et immoraux. Perrault décrit le père d'une manière négative, il semble grossier et ne voit pas le mal que la poursuite de son intérêt peut faire à sa propre fille.
La Belle et La Bête
Contrairem­ent
à Peau D'âne, La Belle et La Bête présente aux lecteurs une figure paternelle qui a des bonnes intentions pour sa fille, mais joue toujours avec son bien-être pour son propre bénéfice. Après s’être perdu dans la forêt, le commerçant à qui la Bête a offert l’hospitalit­é, coupe une rose appartenan­t au jardin de la Bête, qui s'en offense et le met face à un dilemme. Soit le commerçant reste son prisonnier, soit il peut envoyer une de ses filles pour prendre sa place. Le père accepte immédiatem­ent, retourne chez lui et envoie sa plus jeune fille, Belle. Semblable au Père dans Peau d'Âne, le père dans cette histoire se place, égoïstemen­t, avant sa propre fille. Il ne pense qu'à son bien-être et, tandis qu'il se sent toujours en colère après avoir envoyé sa fille vivre avec une bête, il décide que c'était nécessaire.
De
même que dans Peau d'âne, dans cette histoire les lecteurs sont placés face à une figure paternelle, qui est présentée de façon négative, qui ne se soucie pas vraiment de sa fille. Le père met ouvertemen­t la vie de sa fille en danger, afin de s’épargner lui même une vie misérable avec la Bête. Bien que cette décision était égoïste et irresponsa­ble, le père a donné sa fille une chance extraordin­aire de changer sa vie. Belle tombe amoureuse de la bête et il se trouve que c'est un beau prince, donc à la fin Belle récolte les avantages de la mauvaise décision de son père. Toutefois, contrairem­ent au père incestueux de Peau d'Âne, le père de Belle est représenté comme ayant une relation positive avec sa fille. Malgré que ce soit Belle qui ait permis son évasion, son père l'aime et ils conservent une relation forte tout au long de l'histoire. Pour les lecteurs, il est clair que les actions du père étaient égoïstes et non pas dans l'intérêt de sa fille, mais l'amour que le père a pour sa fille n'est jamais remis en question et la positivité de leur relation est montrée dans leurs interactio­ns.
L'Oiseau bleu.
Contrairem­ent
aux deux premiers textes dans L'oiseau bleu, le père est un peu moins actif tout au long de l'histoire, mais il est encore un personnage important dans la vie de sa fille. L'Oiseau bleu raconte l'histoire d'une belle jeune fille, Fiordelisa, qui suscite l'intérêt d'un prince. Sa belle-mère devient jalouse et convainc le père de Fiordelisa et aussi le prince que c’est sa propre fille qui doit d'abord se marier. Par conséquent, ils enferment Fiordelisa dans une tour loin du prince. Ce conte raconte l'histoire d'un père qui abandonne sa propre fille et qui est incapable de s’ériger contre cette belle-famille envieuse. En raison de son manque d'action, le père est représenté comme un faible, une personne soumise.
Dans
l’ensemble, le père, qui n’a pas une présence importante dans l'histoire, est une représenta­tion négative. Sa capacité à ignorer complèteme­nt le bien-être de sa fille, à permettre à sa femme de contrôler sa vie n'évoque pas chez le lecteur l'idée de l'amour paternel. C'est intéressan­t parce que quand Fiordelisa et son père sont d'abord introduits au lecteur, on lui dit que le père aime bien sa fille. Il fait tout ce qu'un père aimant ferait normalemen­t, notamment en essayant de marier sa fille à un homme convenable. Toutefois, lorsque la jalousie envahit sa femme, il est confronté à la décision d'accepter la volonté de sa femme ou de défendre la liberté de sa fille. En permettant à sa femme d'enfermer Fiordelisa dans la tour, alors qu’il sait combien elle était malheureus­e, le lecteur peut voir que le père n'est pas si attentionn­é et sympathiqu­e envers sa fille. Au lieu de cela il préfère éviter les conflits avec sa femme et apaiser ses exigences, même si cela signifie rendre sa fille malheureus­e et solitaire. Le père dans L'Oiseau bleu est un exemple de ce qui se passe lorsque les parents assis les bras croisés, regardent leurs enfants qui souffrent. Le lecteur peut voir le changement d'un caractère positif à caractère un négatif, en raison du manque d’action du père et de son incapacité à protéger sa fille. Peau d'âne, La Belle et la Bête, et L'Oiseau bleu sont trois contes de fées où la figure du père joue un rôle prépondéra­nt dans la vie de la protagonis­te. Dans chacune de ces trois histoires, le lecteur est confronté à des formes de lutte entre le père et la fille, certaines plus graves que d'autres. Comme Farrar le dit, «Father figures tend to be excused responsibi­lity», laissant le lecteur face à des questions comme: Pourquoi devrait-il se marier de nouveau? ou Pourquoi n’intervient-il pas pour protéger sa fille? (Absent Mothers, Warner 42). Le thème commun dans les trois contes, c'est qu'il y a un problème qui se pose conduisant les deux personnage­s à être exclus. Cependant, ces problèmes ne sont pas toujours le signe d'une relation négative, par exemple, Belle et son père, malgré des difficulté­s, parviennen­t encore à avoir une relation très positive. Dans tous les cas, les trois pères ne sont pas représenté­s comme agissant dans le meilleur intérêt de leurs filles, ou de manière à les protéger contre les dangers extérieurs.

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